Expo ROBION, 84 Petites Histoires autour d’une boîte à trous 2011 à Paris / Catalogues
Evènement passé.
Du 1er au 12 février 2011 à Paris (75).
"Les Petites Histoires sont de courts textes qui donnent naissance ou se nourrissent d'une image. Ils sont regroupés, avec toutes les toiles de l'exposition, dans un livre présenté à la Galerie de l'Angle. Les « Petites Histoires » sont 18 petits formats (20 x 20 cm, mises en boîtes) avec leur reflet texte (pas toujours, car les mots meurent parfois devant les images).
Christine Robion expose ses 84 petites histoires
envoyé par art_press. - Regardez plus de courts métrages.
(vidéo Artpress http://www.artpress.com/ )
Le nombre 84 n'est pas aléatoire. Il ressort d'une toile 100 x 100 cm (photo) dont l'iconographie est constituée de 84 vignettes, chacune étant une petite histoire en soi. Des yeux ouverts sur des pans d'existence. Comme les trous, les yeux d'Olivia de Saint-Luc, auteure de la Boîte à trous."
Christine Robion
84 Petites Histoires autour d'une boîte à trous
CHRISTINE ROBION
1er au 12 février 2011
LIEU : Galerie de l'Angle
45 rue des Tournelles Paris 3e
M° Chemin Vert (ligne 8)
Tous les jours de 14H30 Ã 19H
Ouverture exceptionnelle samedi et dimanche 5 et 6 février de 15h à 20h
Entrée libre.
www.robion.com
Avec l'aimable collaboration du sculpteur Olivia de Saint-Luc, auteure de la Boîte à trous
Explication
84 Petites Histoires autour d'une Boîte à trous
La boîte ouvre sur des mondes inutiles.
Trou 1 : Dictée, contrôle, barème, souffrance
Trou 2 : Lazy B, plage. Réverbération de la lumière sur mer orientale. Pas de musique.
Trou 3 : Loge de l'Opéra de Vienne
Trou 4 : Concours Rostropovitch, dernière apparition de Mstistlav.
Reprise au Trou 6 ou 7. Le nom effacé d'un candidat malheureux. Hommage à Dima, qui joue parfois dans la cour du Louvre les Suites pour violoncelle de JS B. Les passants lui jettent des pièces, à la fin de la journée il compte ses euros.
Reprise ; reprises ; qui sont autant de manière d'approfondir le sujet, qui n'a pas de fond.
Trou 14 : Chostakovitch et sa peur au ventre.
Trou 17 : Lady Macbeth de Mzensk au destin lamentable. On a envie de lui botter le cul. Le destin se construit, c'est sûr. Mais la musique retient le geste, elle le maintient en suspens, le fait plonger : l'incompréhensible est admis. Belle est la démesure. En rouge dans le texte.
Paris, 2010
Paris (75)
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